- Texte : Carole Fréchette
- Mise en scène : Kira Ehlers
- Distribution : Richard Bénard, Stéphane Gravel, Suzanne Lambert, Jean-Francois Ménard et Chantale Richer
- Scénographie et accessoires : Brian Smith
- Éclairages : Alexandre Gazalé
- Musique : Dominique Saint-Pierre
- Costumes : Isabelle Bélisle
- Direction de production : Éric Dubeau
- Synopsis : Le destin de Marie n'a rien d'exceptionnel. La vie de Marie, avec ses exaltations, ses folies et ses déchirements, semble raconter lessecrets de toutes nos vies. Et les rêves de Marie, si personnels, si singuliers, rejoignent mystérieusement ceux de tout un chacun. Pourtant, Marie meurt de son enfance. Marie de son adolescence. Marie meurt et meurt encore de son âge adulte. Et ses morts sont les nôtres. Les quatre morts de Marie suit le seul fil qui unit le théâtre depuis ses origines : mettre en mots, en corps et en images ce qui cause notre mort. C'est une pièce très drôle. C'est une pièce très triste. Mais l'art des Quatre morts de Marie est ailleurs, plus essentiel : c'est une pièce qui vraiment rend moins seul.
Une production du Théâtre du Trillium. En collaboration avec les Arts du Maurier. (2001)
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Critiques : « [...] Kira Elhers a du flair pour avoir constitué une distribution forte et efficace. À la direction d'acteurs, elle dévoile en première partie le talent de Chantale Richer dans le rôle touchant de la mère et de Richard Bénard dans la peau du père défait. Tous les deux n'ont jamais été aussi vrais et touchants. Suzanne Lambert incarne une Marie d'une justesse inouïe à la fois fillette candide et crédible et femme mûre et sans âge. La comédienne ne tombe jamais dans la caricature. »
Caroline Barrière, Le Droit, 11 octobre 2001
« The main protagonist of this play is Suzanne Lambert whose beautiful voice is almost enough to construct a whole world by itself. This very sensitive actress brings great depth to the performance. [...] By the way, Brian Smith's set and Alexandre Gazalé's lighting effects are very important and add much to the meaning of the play."
Alvina Ruprecht, CBC Radio One, 10 octobre 2001
« J'ai trouvé que la metteure en scène, Kira Ehers, avait vraiment réussi, de main de maître, à produire cette pièce-là; à réussir à nous faire réfléchir à ce qui se cache derrière les mots. »
Denyse Marleau, CHUO FM, 15 octobre 2007
